Celessia assise entre deux épines dorsales fixait le dragon de feu

-Tue les Iris!  Iris poussa un long rugissement. Velca passa en vol stationnaire

-Accrocher vous! Sa vas secouez! Elle veut se battre!

-On vas se battre contre iris? lança Xavier

-Non! JE vais me battre contre Iris! JE vais souffrir! répliqua Velca.

Le dragon poussa un nouveau rugissement. En quelques semaine sa taille avait considérablement augmenté. Il mesuré maintenant dix mètres de long pour huit de haut alors que le dragon de feu ne fessait que sept mètres de long pour cinq de haut. Sachant que ni l'un ni l'autre avait fini leur croissance . 

Le dragon noir poussa de nouveau un long rugissement.

-Il y a Celessai sur son dos! hurla Lilas

-Quoi? Je n'ai rien entendu avec le rugissement! hurla à son tour Xavier

-Celessia est avec elle!Répéta Lilas.  Xavier viens! Elle se laissa glisser dans le vide imiter par Xavier qui activa sa magie et les deux se posèrent sur le sommet des arbres.

-Lilas! Prête? La jeune fille activa sa magie

-Prête! Les deux lancèrent un sors combiner air et feu vers Celessia qui le renvoya d'un mouvement de main . Lilas et Xavier roulèrent au sol blesses.

Le dragon noir lâcha un long jet de flamme noir-jaune vers Velca qui effectua une figure de haute voltige pour l'éviter. Iris sortit ses serres et se jeta sur lui. Dés qu'il puis Velca se dégagea. D'un mouvement brusque il plongea en avant et plongea ses crocs dans l'aile d'Iris au niveau de l'articulation. Il déchira et la fine membrane de l'aile et la chaire ainsi que les muscles. L'os se brisa avec un craquement sec et quand il se retira Iris chuta sans pouvoir faire quelque chose vers le sol. Ils étaient très haut à cette hauteur la chute était mortelle même pour un dragon

-Alors Velca? Velca releva la tête et se tourna vers Lilas qui s'approchait tenant les chevaux par la brides

-Il y a bien eu des combats ici mais ils sont vieux. Au moins deux voir trois semaine.

-Rien non plus dans les environs! Xavier sortit des buissons couvert de brindilles et de feuille.

-Iris n'est plus là! Siffla Velca dépité! Ils se tromper car la parti la plus important d'Iris se trouvait sous leur pieds .

-On oublie un détail! Iris est capable de se transformer en Dragon! lança soudain Lilas.

-On doit se transformer en Dragon....Je comprends maintenant!

-Qui? Demanda Xavier

-Pas moi!

-Je le ferais! Écartez vous! Lança Velca. Xavier et Lilas tirèrent les chevaux les attachèrent fermement et prirent leur affaires.  Velca tira une dague de sa ceinture et s'entailla profondément la paumes. Le sang coula et tomba par terre.

Velca ce plia en deux et gémit quand la douleur arriva ainsi que les ailes.

Bientôt un immense dragon aux écailles couleur de flammes rougeoyante avec une immense crinière  rousse comme une flamme aux yeux de braise. Il poussa un long rugissement . Lilas et Xavier prirent leur affaires et libèrent les chevaux.

-Grimpez! On vas voler! Lilas grimpa entre les épines dorsale de Velva imitait par Xavier . Le dragon s'envola. Ils survolèrent la zone pendant plusieurs heures jusqu'à qu'ils voient un immense chateau. Une immense ombre noir s'y envola

-Un dragon noir! lança Lilas

-On dirais Smaug! Cria en retour Xavier

-Iris......

Je flottais dans de le noir
-Où suis-je ? Je me redressais et mes pieds touchèrent le sol noir je me mis debout
-Où suis-je ? Répétais-je. Seul le silence me répondit. Je me mis à marcher. J'avançais dans de l'eau.
Plic, Ploc je marchais depuis quelques temps  quand je me rendis compte que j'étais nue.
Je tentais de me transformais en Dragon mais rien ne ce passa
Plic , Ploc alors que j'étais immobile j'entendais de l'eau tombait et coulait . Plic, Ploc une goute d'eau tomba sur mon bras nu. Glacial, Elle était comme une flamme sur ma peau nue. Dés qu'elle , la goute, toucha mon bras elle se transforma en une perle de glace.
Plis Ploc, l'eau  tombait toujours alors que je ne bougeais toujours pas. Soudain je distingua au milieux des ombres une silhouette que j'aurais reconnu entre milles .
-Père ! Je courus vers lui mes pas fessaient voler des gouttelettes qui retombaient avec un petit bruit qui résonnaient à l'infini .
Plic, Ploc, la silhouette se retourna et je bondis en arrière. C'était un horrible monstre avec plein de crocs et de griffes . Il grogna et se transforma totalement et se jeta sur moi. Je roulais dans l'eau glacial et me relevais couverte de l'eau.
L'eau gela et me recouvrit d'un cocon de glace . J'étais immobiliser .
Le monstre s'approcha de moi en grognant. Terrifiée je fermais les yeux incapable de faire le moindre geste . Le hurlement de douleur que je poussa quand le monstre plongea ses crocs dans ma chair du faire tremblait toute le monde noir dans la quelle j'étais.
Je sentis  le monstre lâchait mon épaule en grognant et l'odeur du sang se rependit. Soudain un vive lueur perça mes paupière , le monstre hurla de douleur et une explosion d'eau retentit. J'ouvris un œil puis deux. La glace sur mon corps c'était de nouveau changé en eau et ruisselait sur mon corps .
Une jeune femme auréolait de lumière se tenait là immobile devant la dépouille du monstre qu'elle regarda disparaître dans les eaux noires .
La femme était d'un très très rare beauté, la peaux aussi blanche que le lait elle avait des cheveux comme le miel qui lui descendait jusqu'au genoux comme une cape de soie doré. Elle se retourna vers moi et j’écarquillais les yeux .Elle avait les yeux aussi ambré que ceux d'un loup et le visage parfaitement ovale avec les traits très très finalement. Elle souriait
-Ça va Iris ?

A-C'est quoi être écrivain ?

B-Être écrivain ? Et bien …. Je suppose que c'est savoir dresser les mots ?

A-Dresser les mots ? Tu veux dire quoi par là B ?

B-Euh...Comment expliquer?Vous voyer  un dresseur de fauve ?

A -Euh...oui ?

B-Bien c'est un peu la même chose . Sauf qu'il ne sert pas d'un fouet mais plus tôt de son cerveaux.

A-Je comprend pas ! Il les dresse ?

B-Oui et non ! Les mots acceptent de travaillez avec lui. Parfois un écrivains force les mots et les mots se venge.

A-Comment sa ?

B-Il y a des livres mauvais alors que d'autres sont très bon ! Et bien les livres très mauvais sont les écrivains qui forcent les mots ! Les bon romans sont ceux écris par ceux qui savent écouter les mots.

A-Écouter les mots ?

B-Oui ! Un bon écrivain sais écoutait le chant des mots et transmettre ses ainsi que leur émotions au lecteur.

A-C'est pour sa que certains livres nous font pleurer et d'autre rire. Et d'autre nous ennuie ?

B-Bien sur ! Cela dit tout le monde n'a pas la même notion d'un bon ou mauvais écrivain. Cela dépends des gouts même si certains sont universellement connus pour leur fantastique écris.

A-Comme Victor Hugo ! Maupassant et, Zola ?!

B-Oui ! Et il y en a bien d'autre ! C'est grands auteurs te feront toujours ressentir quelque chose quand tu les lira !

(moi qui m'ennuie ferme en ayant finit mon contrôle de SVT)

Il m'avait assis sur le cheval en amazone. Je sentais le vent sur mon visage. Rien ne m'avais jamais parut plus beau que ce jour là que la sensation du vent sur mon visage. Il me dépassait de deux voire trois bonne têtes et ce tenait derrière moi contrôlant le cheval lançait au galop. Je me souviens encore , même si cela remontait à sept ans , du grand champs où nous étions. Il était immense d'un vert profond de l'herbe épaisse que le cheval foulait au grand galop, ainsi que se qui semblait à mes yeux d'enfants des milliards et des milliards de fleurs ! Des jaunes, des rouges, des bleus, des violettes , des roses, des blanches ! En bref toutes les couleurs possible sur Terre ainsi que les toutes les formes ! A notre gauche s'étendait une immense forêt , très épaisse et très sauvage. Je venais d'y passée une semaine avec pour seule arme une dague je crois. Père avait dit que j'étais la première comme toujours à réussir . Père nous disais toujours qu'il était qu'à sept ans on devait savoir parler , écrire, et lire couramment : le celtique le breton , le japonnais le français , l'anglais et l'espagnol, ce que je savais bien sur faire . A notre droite  il y avait une immense rivière aussi bleue que le ciel en pleine été sans un nuages, sur les rives il y avait de grandes plage de mousse épaisse ainsi que des plages de sables blanc et fin. 
J'ignore combien de temps dura réellement  sans doute quelques minutes mais dans mon esprit d'enfant cela dura que quelques secondes. J'étais tellement déçut que cela s’arrête j'aurais voulut que sa dure des heures encore.
Quand Père arrêta sa jument aussi rousse qu'une flamme je me tournais vers lui et l'observais. Il passa sa main dans mes cheveux
-Ma petite..... Que....NON ! Si j'oubliais mon nom j'étais perdu je sombrais dans le l’obscurité ! Mon nom c'était Fleur ? Hana ? Non ce n'était pas du japonnais ! Donc non ce n'était pas Hana. RÉFLÉCHIS !!! Une fleur...C'était le nom d'une fleur...Le préférais de Père !..Soudain j’eus une illumination ...Iris.....J'ouvris les yeux