• Les nouvelles d'Eariel

    Eariel est une administratrice. Sa passion?

    Toute simplement faire des dessins. Plus beaux les uns que les autres 

    Ohayo Mina-san !!

    Je me présente, comme c'est dit au dessus, je suis Eariel, l'une des admins de ce blog et fan de dessin !

    Je suis aussi une fanatique des mangas, des animes et des dramas ! Mais que dire d'autre... Ah oui je pourrais quelque fois, si vous voulez, dessiner des personnages de mangas, ou autres, pour vous, vous les envoyer en mail, et les mettre sur le blog.

    Bref...j'arrête de monopoliser la parole je vous laisse regarder !

    Lalis : Ouais laisse nous tranquille avec ton blabla Eariel

    Eariel : Mais tu fous quoi là toi? Laisse moi l'ordi Lalis

    Lalis : Ben non c'est mon tour. Et au fait c'est quand que tu fais tes devoirs ?

    Plyk : Gum gum baloon !

    Eariel : One Piece Power !

    Lalis : Yataaa !

    (ps ; a mon humble avis, je suis une piêtre ecrivin ^^ )

  • elle rentra dans la piece sombre, ou raigner une etrange odeur, qui souleva son coeur. sur le point de rendre son déjeuner, elle se rendit compte que c'est doigts toucher un interrupteur, elle appuya dessus, et le regretta aussitôt....

     

     

    elle vit une nuée de cadavre, leur visages impassibles et paisibles, terrorisa la jeune fille, surtout lorsqu'elle puis mettre un nom sur chaques cadavres. Ceux-ci étaient tous epparpillés dans la salle, mais chacun d'eux avaient eu une mort differente. l' un pendu, l'autre vide de son sang qui former une marre autour de lui, guillotinage, torture. La jeune fille se laissa choire au sol, épouvantee, terrorisée, mortifiee, son envie de vomir reprennait, son sang battaient contre ses tempes, sa vison était tentot flou tentot net, elle essaya de se relever mais son subconcien l'en empêcher. elle n'avait plus la notion du temps, combiens de temps était elle la a regarder ses morts ?
     elle entendit des sirainne,
     des hommes crier,
     elle regarda son telephone,
     Eteint,

    Qui les avaient-ils appelé ?


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  • Ohayo mina-san ! pour tout vous dire aujourd'hui j'ai eu une idee pour une courte courte nouvelle.

    Dites moi si cela vous plaît !!

    ( ps : vous aurez souvent des truc de ce genre avec moi ^^)

     

     

    ____________________________________

     

     

     

    Lorsque je t'ai vu dans cet état, c'était dans mon rêve et à mon réveil des larmes de tristesse tombaient sur mes joues, comme celles qui coulaient sur les tiennes.

     

    Tes larmes coulaient sur tes joues, tes yeux brillaient, mais tu gardait un silence de mort. Tu ne suffoquait pas. Respirait-tu seulement ?

     

    Je pouvais voir dans tes yeux, de la souffrance, une souffrance qui te ronger de l’intérieure. Tes yeux rouges me regardaient sans me voir, je me suis sentis oppressé, ma poitrine me faisait mal, mes genoux tremblaient. Comment rester indifférent à un tel spectacle.

     

    Pourquoi sous prétexte de la virilité, leurs larmes ne peuvent-elles pas s'écoulaient, pourtant, leur pleurs silencieux, ses larmes vites essuyées pour camoufler leur désespoir et leur fragilité sont les plus touchant et les plus merveilleux.

     

    Je finirai ce court texte par la citation de Denis Diderot

     

    «  La larme qui s'échappe de l'homme vraiment homme nous touche plus que tous les pleurs d'une femme. »

     


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  • Hé hé >__<

    comme vous l'aurez constaté, je n'écris pas souvent de nouvelles ! je suis désolé, écrivant que des romans, je n'ai pas vraiment le temps d'écrire des nouvelles, mais pour vous je vais transformé l'un de mes "roman" en petites nouvelles que j'essairai de poster le plus rapidement possible à intervalle régulier ^^


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  •  Aujourd'hui pour le jour de l'an, mes parents, mon petit frères et moi sommes invités chez des amis de mes parents lorsqu'ils faisaient encore leur études. Pour l'occasion, bien que je n'aime pas trop en mettre je ne trouve ça vraiment pas pratique, je me suis mis en robe. Celle si était pourpre avec un léger décolleté surplombé de petites perles blanche. Nous sommes entrés dans la maison, nous avons dit bonjour à tout les invités ainsi qu'à nos hôtes,mon frères et moi nous les avons jamais rencontrés. En tout nous étions trois filles, pour trois garçons, mais l'un deux le fil de nos hôtes n'était toujours pas rentré car il avait était invité chez des amis mais il devait revenir dans quelques heures à peine. Il y avait aussi deux nourrissons. Dans le groupe nous avions tous à peut près le même age la plus jeune avait 12 ans et les plus grand étaient le fameux garçon des nos hôtes et moi, qui sommes âgés de 15 et demi. 

    Nos parents étaient dans la salle à manger, et nous dans le salon les deux fille ainsi que les garçons regardaient la télé. Moi bah...je m'occupai des deux petits. Je les amusais avec de petites voitures. C'est alors qu'on entendit dans la salle à manger une certaine agitation. Une de fille nous déclara que c'était son frère qui revenait. Je me leva, ayant la jambe un peu engourdie à force de rester assise, je perdis légèrement l'équilibre, mon pied se posa alors sur quelle que chose, l'objet en question était une des petites voitures, je glissai alors mais réussi me ne pas tomber enfin jusqu'à ce qu'un jeune homme me rentre dedans. Pas chance je tombai sur le coin de la table-basse. Je cogna et tomba par terre. Tout le monde se mis à me demander comment ça aller. Je me relevai avec un peu de mal en ayant un petit vertige. Ma main collé sur l'endroit ou ma tête avait percuté la table-basse. Le jeune homme qui venait de me bousculé s'avança vers moi, lui aussi était tombé :

    • Je suis vraiment désolé, tu n'es pas blessé ?
    • Euh...non je crois pas. Dis-je en enlevant ma main de ma tête.

     Tout le monde me regarda avec de grands yeux genre « t'es sur que tu vas bien, parce que là... » je regardai alors ma main, elle était disons légèrement ensanglanté. Le jeune homme partit vers la salle à manger, et revient avec un homme assez âgé.

    • Montre moi ? Dit-il en me levant légèrement le menton vers la lumière. Ce n'est pas très grave, Mon garçon vas chercher des pansements si t'en as pas prend une bande de tissus.

    • J'y vais, dit le jeune Homme en se dirigeant vers les escaliers, il monta les marches quatre par quatre.

    Mes parents arrivèrent demanda ce qu'il s'était passé, je leur expliquât, ils se sont dit qu'on aller peut être partir. L’homme qui se nommé Vincent était un docteur, il me conseilla de ne pas bouger pour évité les vertiges et de ne pas m'endormir tout de suite, évité le risque de je suis plus quoi, j'avais mal à la tête alors écouté un médecin parler très peu pour moi. Le jeun homme revient avec des pansement, Vincent me les posa. Puis la soirée reprit, à cause du coup je n'avais pas vraiment envie de manger. Tout les ados allèrent dans les chambres pour faire des bêtises, faire le idiots. Moi, bah je restai sur le canapé à m’embête. Sauf que le jeune homme, qui n'avait pas arrêté de s'excuser toute la soirée, vient me retrouver, s'assit entre le dossier du canapé et mes jambes qui étaient plié. Il commença à me parlé, ce qui me déplais pas, je le trouvais...mignon. Il était brun, avec des yeux persans. On parla toute la soirée, on s'était d'ailleurs beaucoup rapprocher, on était devenu ami, puis meilleur ami en seulement quelques heures. On avait des passions communs etc... Jusqu'à ce que le moment fatidique arrive, Valentin m'aida à me levait je fut prit d'un petit vertige. On alla rejoindre les autres puis le décompte commença :

    10....9.....8.....7

    Valentine je rapprocha de moi, ni vu ni connu ;

    6...5...4

    Il se rapprocha encore, tout le monde était tournée vers l'horloge suspendu au mur, et ne voyait pas se qui se passer ;

    3...2....

    Il me prit la main

    ….1.... Bonne année !

    Et là alors que tout le monde était entrain de s'embrasser, et tout et tout, il ne fit rien, il ne me dit rien. Pensant que je me faisait des films, je suis allée souhaiter la bonne année à tout le monde. Puis ma migraine reprit, après l’hystérie je suis allée sur le canapé qui était lui aussi devenu mon meilleur ami, je me suis affalée dessus. Valentin me rejoignit quelques secondes plus tard, alors que les autres remontaient, puis curieux ils se mirent aux escaliers et nous observèrent discrètement. Valentin s'approcha de moi et me serra dans ses bras, il me souhaita une bonne année, s'excusa encore de m'avoir bousculé puis, me chuchota des petit mots doux, qui me fit d'ailleurs rougirent. Il prit ma tête entre ses main et il m'embrassa, je me laissa faire, puis il me serra encore dans ses bras, où je mis blottis. On passa le reste de la fête ensemble avec les autres qui bien sur ayant vu la scène arrêtaient pas de nous embêté se qui me gêna plus qu'autre chose, mais bon. C'était une super soirée, l'année risquai d'être très intéressante.

     


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        Je tourne, et me retourne dans mon lit, je n'arrive pas à trouver le sommeil. Je toute excitée  de le revoir, enfin. Ça faisait quatre longues années que je ne l'avais pas revu. J'essaie de me souvenir de son visage, autrefois enfantin, maintenant comment est-il ? As-t-il changeait du tout au tout. Sûrement.
         Notre dernière rencontre remonte à nos dix ans, en une belle journée d'automne. Nous venions tout les deux d'arrivé dans la ville, je venait de déménager pour le travaille de maman, et lui avait déménager car sa grand-mère ne pouvait plus vivre toute seul, donc lui et ses parents était allé vivre chez elle. Notre rencontre et dû au hasard, j'étais arrivé une semaine avant lui, et dans la classe je ne m'étais pas vraiment intégré j'étais toute seul, au fond de la classe. La maîtresse avait présenter le nouveau, il s'était assis devant avec les autres élèves. Lors de la récréation, tous les enfants étaient sortis, sauf moi. Étant souvent malade, je ne sortais pas beaucoup, et je préférais lire que jouer avec les autres filles qui ne voulais pas de moi. Mais le jeune garçon qui venait d'arriver était lui aussi rester dans la classe et était venue me parler. Depuis se jour, il est devenu mon meilleur ami, mon seul ami. Mais aussi mon confident, je lui confier mes problème, mes secrets. Et lui s'écouter sans rien dire. Il me réconforté lorsque je me sentais pas bien. Bien plus tard, environs sept moi, mes parents on préféré divorcer. Obliger d'emménager avec mon père dans une autre ville, étais allée lui annoncée la nouvelle. Nous fûmes dévaster, puis on s'est promit de s’écrire et qu'un jour on se reverra.

    A suivre.....

    Eariel


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