• Les nouvelles de Lalis

    Salut !

     Moi, c'est Lalis ! Bienvenue dans ma rubrique. J'adore écrire comme vous allez le découvir, à travers ces nouvelles. Par contre je supplie de ne pas me compter de mes fautes d'orthographes. 

    Eariel : ...Lalis...on sait tous très bien que tu fais des fautes pas besoin de le dire !

    Lalis : Hein ?! Qu'est-ce que tu fais ici toi ? Et puis Niveau orthographe, tu es plus nulle que moi je te signale !

    Eariel : Je sais...à ton avis pourquoi je fais du dessin ^^

    Plyk : AAÏE MES YEUX !

    Lalis : Oui bon ça va on a compris Plyk !

  • Louise se leva aussitôt à la recherche de ses habits de princesse. Elle passa sa main dans ses cheveux et poussa un cris de surprise quand elle se rendit compte de leur longueur.

    -Tiens! La belle aux bois dormant s'est réveillée!

    Louise se tourna vers la porte et vit Nikkô appuyer contre le montant

    -Qui es tu?!

    -Nikkô.

    -Pourquoi je suis ici? Pourquoi j'ai ces habits de paysan et pourquoi on m'a couper mes cheveux?! Louise avait hurler

    -Parce que tu n'es pas ailler. Tu as ces habits parce que ton ancienne robe était chiante. On la bruler. Et t'es cheveux te rendaient reconnaissable.

    -Quoi?! Vous avez bruler ma robe! Vous avez une idée du prix qu'elle coute?

    -Ouais. Un an de salaire pour le village où on est. Ramené toi!

    Louise la suivit à contre coeur pendant que Nikkô descendait  l'escalier et entra dans la cuisine . Nikkô s'installa à côte de Kuro qui était pencher sur une carte. Louise s'assit et attendit avec impatience. Une heure passa sans que Kuro s'occupe de la princesse celle-ci s'enerva

    -Bon maintenant sa suffit! Il ce passe quoi ici! Tu vas me répondre tout de suite!

    Kuro leva la tête vers elle

    -Ferme la! Et se replongea dans la carte


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  • Louise serrait ses genoux contre son torse. Immobile dans une cellule humide et froide, elle avait peur, elle avait faim, elle était triste elle ne comprenait rien. Sa jolie robe était déchirée et tachée à différents endroit. Elle n'était ici que depuis quelques heures mais cela avait sembler des semaines à la pauvre princesse.

    Un homme entra une écuelle à la main. Il s'approcha de la grille la princesse leva les yeux vers lui. C'était le chef des assassins

    -Salut p'tite princesse ! Il fit passer l'écuelle sous la porte. Alors pas trop secouée ? On est pas trop triste sans son p'tit papa ?

     

    Louise s'approcha et prit la gamelle remplit de gruau

     

    -Pourquoi avoir fait sa ?! Mon père était un homme juste ! L'homme s'agenouilla

    -Juste ?! Faire brûler tout un village avec les habitants car ils ont refuser de lui offrir leur enfant afin qu'il les vende pour payer des dettes du royaumes ? Juste qu'il ai fait torturer de vielles hommes pour avoir la position de l’endroit où était cachée les réserve d'un village qui mourrait de faim ?

     

    Louise serra les dents

     

    -Mon père n'a..

    -Jamais fais sa ? Je t'assure que si. Après tout j'étais là quand il a carbonisé mon village avec tous les gens dedans. Bref ! Bon appétit princesse ! Il la salua moqueur et disparut.

     

    Louise lança son écuelle contre le mur et regretta son geste en voyant le gruau dégouline le long du mur et par terre.

    Elle retourna s’asseoir contre le mur. Elle posa sa tête sur ses genoux. Soudain un bruit lui fit lever la tête. Une jeune femme aux cheveux bleus-violet attaché en queue de cheval avec une frange et deux mèches devants la fixé elle avait les yeux blanc-violet . Elle avait un haut sans manches noirs avec de bandes de tissue une noire et une blanche enroulée juste au-dessus de ses coudes jusqu'à ses mains. Elle avait un pantalon bleu marine avec différents étui elle tenait à la main un kunaie. Un jeune homme noir aux yeux bleus très clairs se tenait près d'elle.

    -Nikkô tu peux ouvrir la serrure ?

     

    La fille sourit et posa sa main sur la serrure

     

    -Sans soucis ! Occupe toi de la princesse....

     

    Le garçon sourit. La dénommée Nikkô ouvrit la porte de la cellule. Louise les fixa terrorisée.

     

    -Kuro ! C'est à toi !

     

    Kuro se glissa dans la cellule et se pencha vers Louise

     

    -Princesse, venez on va vous tirer de là!

    -Non ! Allez vous en !

     

    Nikkô soupira

     

    -Kuro ! On doit se tirer le plus vite possible ! Assomme la s'il faut !

     

    Kuro hocha la tête.

     

    -Pardon Princesse !

    Il la frappa à la tempe la chargea sur son épaule et sortit de la prison.Nikkô sourit puis se fondit dans les ombres avec lui.

     

     

    Louise se réveilla dans un lit vêtue d'une simple chemise blanche et un pantalon. Ses magnifique cheveux brun avait été coupée court à la garçonne.

     


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  • La jeune femme aux longs cheveux noirs se leva avec grâce et les servantes s'approchèrent. L'une d'elles portait une longue robe.

    -Ah ! Enfin ! Vous voilà ! C'est pas trop tôt !

    Les servantes s'inclinèrent

    -Pardonnez Princesse nous de notre retard. Les couturières avaient une dernières retouches à faire.

    La princesse hocha la tête et les servantes l'habillèrent de la longue robe blanches avec des motifs rouges. Les servantes la coiffèrent et ses longs cheveux noirs lui tombèrent comme une rivière noire dans le dos jusqu'à la taille. La princesse sortit de ses appartements suivit des deux servantes. Un homme s'inclina devant elle

    -Princesse Louise. Votre père vous attends dans la salle du trône.

    -Merci.

    Louise se dirigea en marchant avec grâce au milieux des convives vfers la salle du trône. Sur son passage tous s'incliner. Louise entra dans la salle du trône et se dirigea vers son père qui la serra dans ses bras

    -Tu es ravissante.

    -Merci Père.

    Elle prit place sur un trône deux degrés sous celui de son père et les auditions commencèrent. Louise souriait avec grâce devant le jugement de son père. Il était très sévère mais juste. Durant la matinée tous se passa bien. A midi on ferma les portes de la salle pour permettre au roi et se fille de manger en paix. Les servantes rapportèrent de la viande de sanglier avec des légumes. Louise s'assit près de son père et commença à manger avec lui.

    Soudain les gardes tombèrent tous en même temps face contre terre tous égorgée. Louise se mit à hurler de terreur quand des hommes en noirs sortirent de l'ombre. L'un d'eux s'inclina moqueur

    -Désolée mon seigneur de vous interrompre pendant votre repas mais....Nous avions une requête à vous soumettre.

    Il claqua des doigts et deux des hommes attrapèrent Louise et l'immobilisèrent sans aucun soucis. Quatre hommes mirent à genoux le roi. Et le premier homme s'approcha une dague à la main.

    -Transmettez mon salut au diable !

    D'un geste précis il lui trancha la gorge le roi s’effondra. Mort. Louise hurla de terreur. Les deux hommes lui lièrent les mains et lui fourrèrent un morceau de tissue dans la bouche et l'un la chargea sur son épaules

    -On décolle ! Lança leur chef.

    Les assassins lancèrent des grappins vers le plafond haut de la salle et à l'aide de leur ceinture ils se hissèrent en quelques secondes sur les poutres. Les assassins coururent sans bruit sur les poutres jusqu'à une lucarnes et s'enfuirent en emportant Louise qui pleurait à chaud de larme

     


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  • Ce "chapitre" est le dernier de la série. J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de nouvelle surement mieux que celle là. Voila! Bonne lecture pour ce dernier chapitre.

    Je rouvris les yeux

    -J'accepte d'être votre réincarnation.

    La déesse sourit puis tendit la main et traversa ma poitrine. Je sombré dans le noir.

    Iris rouvrit grands les yeux. mais ce n'était plus Iris son apparence était celle de la déesse. Elle se leva lentement sans accordée un regard au jeune gens assit près d'elle qui la fixèrent immobile.

    -La déesse est de retour... Les démons vont mourir. Rentrer chez vous!

    Des ailes d'argent apparurent dans son dos et la déesse s'envola. Xavier, Velca et Lilas la fixèrent incrédule puis obéirent. Des mois se passèrent sans aucunes nouvelles ne leur parvinrent dans leur clairière reculait avec leur maîtres. Puis un jours la déesse se posa devant leur maison. Les sept en sortirent fixant ce qui avait été Iris.

    -Notre quête est achevée...Notre présence n'est plus nécessaire....Nous partons.....

    Les sept hochèrent la tête et dans un même élan se transformèrent en dragon.

    On vit passer dans le ciel huit dragon dont le plus gros était un dragon d'argent

    FIN


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  • Lilas examine iris longuement puis elle demanda au deux garçons d'enlever leur chemises ce qu'ils firent sans discuter. Lilas enveloppa rapidement Iris dedans.

    -Sa température baisse....Expliqua-t-elle puis elle ajouta devant l'air catastrophée des deux garçons.

    -Elle est vivante! Mais simplement elle a froid. C'est un contre-coup de toute son utilisation de sa magie...

    -Euh....Pourquoi elle a chaud en utilisant sa magie? Demanda Velca perdu

    -Vous écoutez de temps en temps en cour? Xavier la fixait lui aussi avec des yeux de merlan frit.

    -Bon....D'accord.... Lorsque vous utilisez de la magie vous produisez de la chaleur. Oh! Pas beaucoup juste quelques micro Celsius mais si vous utiliser toute votre magie, comme Iris, votre température peut augmenter de trois à quatre degrés voir plus. Suivant votre quantité maximal de magie. Le contre coups de cette utilisation et une immense sensation de froid intense. Ce qu'est entrain de subir gentiment Iris.  Lilas serra ses genoux contre elle.

    -J'espère pour elle que la déesse l'aidera.....Peut-être que....Elle laissa sa phrase en suspends

    -Peut-être que quoi?! la pressa Velca

    -Peut-être...Qu'elle lui proposera une fusion...

    -Une quoi? Fit Xavier.

    -Vous êtes nuls tous les deux ma paroles! Une fusion consiste à fusionner deux esprit ensemble pour qu'ils n'en forment plus qu'un! Stupide garçons inutiles! 

    Les deux garçons eurent un mouvement de recul. C'était si rare de voir la calme et douce Lilas en colère. Et elle était effrayantes en colère...

    Je fixai la déesse immobile. Je fermai les yeux et plonger dans une intense réflexion. Que devais-je faire?


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